[TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
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[TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
Bonjour les maquettistes confinés,
En apprenant que nous allions de nouveau être embastillés, j'ai décidé d'attaquer un nouveau chantier maquettes. Alors que pour le dernier opus "convoi de ravitaillement en essence", la genèse du diorama s'était faite dans la douleur, j'ai la scène de celui-ci dans la tête depuis longtemps et les maquettes ont été mises de côté à cet effet.
L'idée est donc la suivante : à l'été 1944, dans un endroit à définir, un groupe de FFI avec une Traction Citroën vient d'intercepter un officier allemand qui s'enfuyait à bord d'une Simca 5. Pour ce faire, nous avons :
une Traction de chez DES
une Simca 5 Tamiya
un ensemble de figurines. trois viennent de la boite "french partisans" de Master Box (celles entourées en rouge), il y a une référence Nemrod et je n'ai aucun souvenir de l'origine des deux personnages entourés en bleu...
et, pour changer la silhouette de la Traction, je vais ajouter ce transkit DES pour en faire un véhicule fonctionnant au gaz
Maintenant, yapuka !
Merci de vos avis et commentaires
J-F
En apprenant que nous allions de nouveau être embastillés, j'ai décidé d'attaquer un nouveau chantier maquettes. Alors que pour le dernier opus "convoi de ravitaillement en essence", la genèse du diorama s'était faite dans la douleur, j'ai la scène de celui-ci dans la tête depuis longtemps et les maquettes ont été mises de côté à cet effet.
L'idée est donc la suivante : à l'été 1944, dans un endroit à définir, un groupe de FFI avec une Traction Citroën vient d'intercepter un officier allemand qui s'enfuyait à bord d'une Simca 5. Pour ce faire, nous avons :
une Traction de chez DES
une Simca 5 Tamiya
un ensemble de figurines. trois viennent de la boite "french partisans" de Master Box (celles entourées en rouge), il y a une référence Nemrod et je n'ai aucun souvenir de l'origine des deux personnages entourés en bleu...
et, pour changer la silhouette de la Traction, je vais ajouter ce transkit DES pour en faire un véhicule fonctionnant au gaz
Maintenant, yapuka !
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Dernière édition par ve-jeff le Ven 30 Oct 2020 - 18:23, édité 1 fois
ve-jeff- Employé Qualifié de l'usine
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Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
Bonjour,
Le montage de la Traction est quasiment achevé ; montage sans difficultés majeures : c'est la qualité habituelle des productions de Maurice DES. Simplement, avec mes gros doigts, la mise en place des petites pièces (poignées, vitres et autres manivelles) a été un peu délicate.
J'ai consulté le forum CAMAC et en particulier cette page http://camac.forumactif.fr/t3425-presentation-des-differentes-carrosseries-traction pour m'y retrouver parmi les 1001 versions de Traction ayant existé. J'espère ne pas dire de bêtises, mais voici ce que j'ai compris : le kit présente les caractéristiques d'un modèle 11B de 1938 (verres des phares bombés, compteur de vitesse devant le chauffeur et roues pilote). J'avais toujours pensé que les Traction étaient systématiquement noires ; c'est vrai pour les modèles produits entre 1945 et 1953, mais faux pour les modèles d'avant guerre. Histoire de changer un peu du noir, je vais peindre la voiture en gris-bleu qui était une des couleurs proposées cette année-là.
Faute d'essence, les voitures ont roulé avec divers carburants de substitution ; le plus connu est le gazogène. Mais d'autres véhicules ont été modifiés pour rouler au "gaz de ville comprimé" ; c'est le cas qui nous occupe ici. Environ 3000 voitures ont roulé au gaz, chiffre modeste mais à rapporter à la taille du parc automobile de l'époque. Pour tout savoir sur cette transformation au gaz, je vous invite à consulter "les véhicules de l'occupation" par Jacques Borgé et Nicolas Viasnoff.
Voici ce que ça donne : la portière tient avec de la Patafix, les bouteilles de gaz sont simplement posées à blanc sur le toit et j'ai vaguement barbouillé l'intérieur et le dessous (d'où les bavures sur le bas de caisse et les ailes...).
Merci de vos avis et commentaires
J-F
Le montage de la Traction est quasiment achevé ; montage sans difficultés majeures : c'est la qualité habituelle des productions de Maurice DES. Simplement, avec mes gros doigts, la mise en place des petites pièces (poignées, vitres et autres manivelles) a été un peu délicate.
J'ai consulté le forum CAMAC et en particulier cette page http://camac.forumactif.fr/t3425-presentation-des-differentes-carrosseries-traction pour m'y retrouver parmi les 1001 versions de Traction ayant existé. J'espère ne pas dire de bêtises, mais voici ce que j'ai compris : le kit présente les caractéristiques d'un modèle 11B de 1938 (verres des phares bombés, compteur de vitesse devant le chauffeur et roues pilote). J'avais toujours pensé que les Traction étaient systématiquement noires ; c'est vrai pour les modèles produits entre 1945 et 1953, mais faux pour les modèles d'avant guerre. Histoire de changer un peu du noir, je vais peindre la voiture en gris-bleu qui était une des couleurs proposées cette année-là.
Faute d'essence, les voitures ont roulé avec divers carburants de substitution ; le plus connu est le gazogène. Mais d'autres véhicules ont été modifiés pour rouler au "gaz de ville comprimé" ; c'est le cas qui nous occupe ici. Environ 3000 voitures ont roulé au gaz, chiffre modeste mais à rapporter à la taille du parc automobile de l'époque. Pour tout savoir sur cette transformation au gaz, je vous invite à consulter "les véhicules de l'occupation" par Jacques Borgé et Nicolas Viasnoff.
Voici ce que ça donne : la portière tient avec de la Patafix, les bouteilles de gaz sont simplement posées à blanc sur le toit et j'ai vaguement barbouillé l'intérieur et le dessous (d'où les bavures sur le bas de caisse et les ailes...).
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Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
belles avancées, elle va être superbe cette traction
Jmichel :pirat: :pirat: :pirat:
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Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
Bon début de montage.
Bonne continuation
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Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
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Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
Eric a écrit:Dans le cas présent et par rapport à tes explications nous sommes plus tôt dans le cadre d'une interpellation avec arrestation d'un soldat allemand, que d'un carjaking.
Eric :D :D :D :D :D
Merci de ton intervention.
Je reconnais que le terme de carjaking est sans doute mal choisi. Mais c'est le premier mot qui m'est venu à l'esprit pour résumer la scène que je vais essayer de représenter. :shock:
Compte tenu de la situation de pénurie qui existait en 1944, je pense toutefois que, pour des résistants, récupérer un véhicule automobile en état de marche n'était pas forcément une considération secondaire. Mais je suis d'accord avec toi pour penser que l'objectif prioritaire était l'officier dans la voiture.
J-F
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Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
Ce que vous faites tous les deux me plait beaucoup
Des photos du dio avec la traction peut-ètre,pour patienter
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Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
Bonsoir,
La suite de l'histoire : les figurines.
Je n'avais pas décidé où et quand se situerait ce diorama ; et puis, en cherchant autre chose, j'ai retrouvé, au fond d'une boite, cette figurine :
J'ai décidé de l'utiliser et, du coup, le diorama va représenter une scène se situant dans le Morbihan, précisément près du maquis de Saint-Marcel (alias la base Dingson) où se sont illustrés les paras français du 4th SAS (2ème Régiment de Chasseurs Parachutistes selon la dénomination française). La vie de ce maquis ayant été courte, la scène a donc lieu entre le 6 et le 18 juin 1944.
Une petite remarque en passant : l'Histoire n'a pas rendu justice aux SAS français ; parachutés en Bretagne pour empêcher ou, au moins, retarder l'envoi de renforts allemands vers le front de Normandie, leur rôle n'est cité dans quasiment aucun des ouvrages traitant du débarquement du 6 juin. Aussi, je recommande vivement la lecture de "Qui ose vaincra" de Paul Bonnecarrère qui raconte l'histoire des SAS français ainsi qu'une visite du site du musée de Saint-Marcel http://www.resistance-bretonne.com/.
Le diorama met en scène un groupe de résistants accompagnés d'un parachutiste ; l'embuscade tendue avec une Traction en travers de la route a permis d'intercepter un officier allemand dont la Simca 5 a fini dans le fossé. Dans un 1er temps, j'avais envisagé de tuer le chauffeur de la voiture et puis j'ai décidé d'être sympa avec lui, il est seulement blessé. En dehors du para qui a son équipement réglementaire, les maquisards disposent d'un armement hétéroclite : un FM Bren récupéré lors d'un parachutage de matériel, deux Mauser 98K pris à l'ennemi et même un antique fusil Lebel-Berthier modèle 1915 dont on se demande comment il est arrivé là. On pourra également constater que plusieurs maquisards ont une façon bien peu réglementaire de tenir leur arme...
Voila l'idée du diorama ; le positionnement des personnages n'est pas définitif. Il reste un gros travail de masticage/ponçage sur les figurines et tout le décor est à faire.
Prochaine étape, le montage de la Simca 5. C'est du Tamiya, ça ne devrait pas poser de problèmes insurmontables.
Merci de vos avis et remarques
J-F
La suite de l'histoire : les figurines.
Je n'avais pas décidé où et quand se situerait ce diorama ; et puis, en cherchant autre chose, j'ai retrouvé, au fond d'une boite, cette figurine :
J'ai décidé de l'utiliser et, du coup, le diorama va représenter une scène se situant dans le Morbihan, précisément près du maquis de Saint-Marcel (alias la base Dingson) où se sont illustrés les paras français du 4th SAS (2ème Régiment de Chasseurs Parachutistes selon la dénomination française). La vie de ce maquis ayant été courte, la scène a donc lieu entre le 6 et le 18 juin 1944.
Une petite remarque en passant : l'Histoire n'a pas rendu justice aux SAS français ; parachutés en Bretagne pour empêcher ou, au moins, retarder l'envoi de renforts allemands vers le front de Normandie, leur rôle n'est cité dans quasiment aucun des ouvrages traitant du débarquement du 6 juin. Aussi, je recommande vivement la lecture de "Qui ose vaincra" de Paul Bonnecarrère qui raconte l'histoire des SAS français ainsi qu'une visite du site du musée de Saint-Marcel http://www.resistance-bretonne.com/.
Le diorama met en scène un groupe de résistants accompagnés d'un parachutiste ; l'embuscade tendue avec une Traction en travers de la route a permis d'intercepter un officier allemand dont la Simca 5 a fini dans le fossé. Dans un 1er temps, j'avais envisagé de tuer le chauffeur de la voiture et puis j'ai décidé d'être sympa avec lui, il est seulement blessé. En dehors du para qui a son équipement réglementaire, les maquisards disposent d'un armement hétéroclite : un FM Bren récupéré lors d'un parachutage de matériel, deux Mauser 98K pris à l'ennemi et même un antique fusil Lebel-Berthier modèle 1915 dont on se demande comment il est arrivé là. On pourra également constater que plusieurs maquisards ont une façon bien peu réglementaire de tenir leur arme...
Voila l'idée du diorama ; le positionnement des personnages n'est pas définitif. Il reste un gros travail de masticage/ponçage sur les figurines et tout le décor est à faire.
Prochaine étape, le montage de la Simca 5. C'est du Tamiya, ça ne devrait pas poser de problèmes insurmontables.
Merci de vos avis et remarques
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Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
j'ai hâte de voir la suite !!
Jmichel :pirat: :pirat: :pirat:
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Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
Vivement la suite. Bonne continuation.
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Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
Très intéressant et plaisant à suivre,bravo
:D
:D
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Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
Bonsoir,
Voici la suite des travaux de ces derniers jours : essentiellement le montage de la Simca 5 et la peinture de la Traction. Pour garnir l'arrière de la scène, j'ai ajouté un petit oratoire au bord de la route. Ultérieurement, un haie vive viendra clore l'arrière du diorama.
La Simca est simple à monter, peu de pièces et des ajustements parfaits ; bref, du Tamiya pur sucre. Bon, je l'ai un peu massacrée pour traduire les dégâts du choc avec le fossé. Je ne sais pas si mes destructions sont réalistes sur un tel modèle ; mais, je me suis souvenu d'un accrochage du temps de ma jeunesse (donc il y a très longtemps) où la 2CV d'un copain s'était retrouvée avec la roue avant gauche sous le moteur après un choc, somme toute, assez modéré. Alors j'ai reproduit un truc analogue... Après avoir consulté un connaisseur du matos allemand, la voiture sera jaune foncé (dunkel gelb ou quelque chose de semblable)
Prudents, les occupants de la Simca avaient emporté, outre divers bardas, une MG34 et un MP40 dont ils n'ont pas eu le temps de se servir
L'oratoire a été acheté, si mes souvenirs sont bons, à l'expo de Saumur il y a trois ou quatre ans. C'est un produit en résine dont j'ai totalement oublié la marque.
Voilà ce que devrait donner la scène. Le placement des personnages. Pour l'instant, ils sont désarmés ; les pétoires sont à l'atelier peinture.
Pour mémoire, la couleur gris-bleu était proposée par Citroën pour les véhicules du millésime 1938 qui est celui de la Traction qui nous occupe ici. L'immatriculation (3004 LE 2) correspond à un véhicule immatriculé dans le Morbihan puisque la scène se situe près du maquis de Saint Marcel.
Un drapeau, accroché au tuyau d'arrivée de gaz, viendra cacher le défaut d'ajustement de vitre avant droite.
Maintenant, reste à peindre et vieillir tout cela et créer le décor.
Merci de vos avis et commentaires
J-F
Voici la suite des travaux de ces derniers jours : essentiellement le montage de la Simca 5 et la peinture de la Traction. Pour garnir l'arrière de la scène, j'ai ajouté un petit oratoire au bord de la route. Ultérieurement, un haie vive viendra clore l'arrière du diorama.
La Simca est simple à monter, peu de pièces et des ajustements parfaits ; bref, du Tamiya pur sucre. Bon, je l'ai un peu massacrée pour traduire les dégâts du choc avec le fossé. Je ne sais pas si mes destructions sont réalistes sur un tel modèle ; mais, je me suis souvenu d'un accrochage du temps de ma jeunesse (donc il y a très longtemps) où la 2CV d'un copain s'était retrouvée avec la roue avant gauche sous le moteur après un choc, somme toute, assez modéré. Alors j'ai reproduit un truc analogue... Après avoir consulté un connaisseur du matos allemand, la voiture sera jaune foncé (dunkel gelb ou quelque chose de semblable)
Prudents, les occupants de la Simca avaient emporté, outre divers bardas, une MG34 et un MP40 dont ils n'ont pas eu le temps de se servir
L'oratoire a été acheté, si mes souvenirs sont bons, à l'expo de Saumur il y a trois ou quatre ans. C'est un produit en résine dont j'ai totalement oublié la marque.
Voilà ce que devrait donner la scène. Le placement des personnages. Pour l'instant, ils sont désarmés ; les pétoires sont à l'atelier peinture.
Pour mémoire, la couleur gris-bleu était proposée par Citroën pour les véhicules du millésime 1938 qui est celui de la Traction qui nous occupe ici. L'immatriculation (3004 LE 2) correspond à un véhicule immatriculé dans le Morbihan puisque la scène se situe près du maquis de Saint Marcel.
Un drapeau, accroché au tuyau d'arrivée de gaz, viendra cacher le défaut d'ajustement de vitre avant droite.
Maintenant, reste à peindre et vieillir tout cela et créer le décor.
Merci de vos avis et commentaires
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Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
mise en scéne très convaincante, bravo !!
Jmichel :pirat: :pirat: :pirat:
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Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
Bonsoir,
Les petites avancées de la semaine : essentiellement la création du décor et la peinture de la Simca 5. J'ai sans doute eu la main lourde en passant les lavis ; c'est souvent comme ça avec moi... J'ai affecté la voiture à la 275ème division d'infanterie (insigne bleu avec deux épées entrecroisées) qui tenait garnison dans le secteur allant de Saint-Nazaire à Redon, pas très loin donc de l'endroit où je situe l'action. les décals d'unité sont faites maison. J'ai créé une série d'impacts dans l'avant de la voiture et une dans le pare-brise (la balle qui a blessé le chauffeur) ; j'ai étoilé le pare-brise tout autour de l'impact. Mais je me demande s'il ne faudrait pas étoiler tout le pare-brise vu qu'à l'époque ils étaient en verre trempé. J'ai le souvenir d'un gravier qui avait dézingué la totalité de la vitre sur la voiture de mes parents.
La haie demande encore à être un peu plus garnie et je dois fignoler l'aspect de la route. Vu qu'il s'agit d'un chemin terre/caillou, il faudra empoussiérer d'abondance le bas de caisse des deux voitures. Le vieillissement de la Traction sera minimal ; en 1944, avoir une telle voiture est un vrai trésor (surtout quand on a du carburant fut-il de substitution), on peut donc supposer que son propriétaire l'entretient avec grand soin.
D'autre part, j'ai commencé à barbouiller les figurines. C'est pas ce que je préfère dans un diorama et, là, je ne me suis pas simplifié la vie puisqu'il y en a 8... :shock:
Merci de vos avis et commentaires
J-F
Les petites avancées de la semaine : essentiellement la création du décor et la peinture de la Simca 5. J'ai sans doute eu la main lourde en passant les lavis ; c'est souvent comme ça avec moi... J'ai affecté la voiture à la 275ème division d'infanterie (insigne bleu avec deux épées entrecroisées) qui tenait garnison dans le secteur allant de Saint-Nazaire à Redon, pas très loin donc de l'endroit où je situe l'action. les décals d'unité sont faites maison. J'ai créé une série d'impacts dans l'avant de la voiture et une dans le pare-brise (la balle qui a blessé le chauffeur) ; j'ai étoilé le pare-brise tout autour de l'impact. Mais je me demande s'il ne faudrait pas étoiler tout le pare-brise vu qu'à l'époque ils étaient en verre trempé. J'ai le souvenir d'un gravier qui avait dézingué la totalité de la vitre sur la voiture de mes parents.
La haie demande encore à être un peu plus garnie et je dois fignoler l'aspect de la route. Vu qu'il s'agit d'un chemin terre/caillou, il faudra empoussiérer d'abondance le bas de caisse des deux voitures. Le vieillissement de la Traction sera minimal ; en 1944, avoir une telle voiture est un vrai trésor (surtout quand on a du carburant fut-il de substitution), on peut donc supposer que son propriétaire l'entretient avec grand soin.
D'autre part, j'ai commencé à barbouiller les figurines. C'est pas ce que je préfère dans un diorama et, là, je ne me suis pas simplifié la vie puisqu'il y en a 8... :shock:
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Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
C'est beau à regarder,félicitations
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Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
Bonjour
Les dernières avancées du projet : le barbouillage des figurines.
Ceux qui me connaissent savent que je n'aime guère la phase de peinture des figurines. Alors, pour passer le temps, j'ai inventé une histoire à chaque personnage. Je vous propose de faire connaissance avec les protagonistes de cette scénette.
1 : Juan : c'est un ancien de la guerre d'Espagne. Il a gardé de cette période l'habitude de porter sa couverture enroulée autour de son torse. Il a récupéré un casque Adrian, un Mauser 98K, une cartouchière et une gamelle de modèles inconnus (enfin, inconnus de moi…). C'est un teigneux, Juan ; dans quelques semaines, après la fin des combats en Bretagne, il va s'engager au Régiment de Marche du Tchad et, plus précisément à la 9ème compagnie surnommée « La Nueve » car composée en très grande majorité d'anciens Républicains Espagnols. Juan fera donc partie du tout premier élément de la 2ème DB à entrer dans Paris le 24 Août au soir.
2 : Adrien : c'est un fils de bonne famille, comme on disait à l'époque. Il porte toujours des vêtements élégants. Son blouson en cuir fauve fait des envieux parmi ses camarades. Comme il est toujours sur les bons coups, il s'est approprié un BM Bren récupéré lors d'un récent parachutage. Après la guerre, il se servira de sa qualité d'ancien résistant pour entrer en politique.
3 : Gunther : en 1944, il n'est visiblement plus un perdreau de l'année et alors qu'il a obtenu la Croix de Fer, il n'est toujours qu'Oberst (lieutenant). Il a fait tout son possible pour rester en France occupée et éviter d’aller sur le front russe où les occasions de monter en grade sont plus nombreuses (mais celles de se faire tuer également...). Personnage déplaisant, il préfère constituer des dossiers plutôt que d’être en 1ère ligne. Il continuera dans cette activité et fera carrière dans la Stasi.
4 : Didier : aspirant en 1940, il a réussi, au moment de sa démobilisation, à planquer son ceinturon avec son pistolet d'ordonnance ; il le porte aujourd'hui avec les culottes couleur mastic et les jambières en cuir de son ancien uniforme. Pour faire bonne mesure, il s'est attribué une promotion et arbore sur son béret deux galons de lieutenant. A l'automne, il va rejoindre les écoles d'intégration prévues pour les FFI et finir la guerre dans l'armée régulière comme capitaine. Après le conflit, il deviendra maire de son village puis député.
5 : Jean : après 1001 aventures, il a réussi à rejoindre Londres au début 1941 et s'est engagé dans les parachutistes. C'est maintenant un combattant aguerri ; il a participé aux opérations commando en Afrique du Nord, là où a commencé à se forger la légende des SAS. C'est le seul à avoir un équipement réglementaire... Après la guerre, il va rengager et partir en Indochine ; en 1954, avec son bataillon, il sera parachuté dans l'enfer de Diên Biên Phu d'où il ne reviendra pas.
6 : Walter : simple Gefreiter (caporal), son objectif principal c'est de rentrer chez lui. Malchanceux permanent, c'est lui qui a pris, dans le bras, une des balles de la rafale d'arme automatique qui a arrêté la Simca 5. Au lieu de rentrer chez lui, prisonnier de guerre, il sera envoyé dans les Iles Anglo-Normandes pour travailler dans une ferme. Après sa libération, il épousera la fille des fermiers et restera là jusqu'à la fin de ses jours (anecdote véridique).
7 : Emile : c'est un ouvrier ajusteur ; laissant femme et enfants, il a rejoint le maquis habillé de ses bleus de travail qu'il continue à porter au combat. Il a, comme Juan, récupéré un casque Adrian, une cartouchière allemande et un Mauser 98K. Au fond, c'est un paisible ; estimant son devoir fait, il va rentrer dans son foyer une fois la Bretagne libérée.
8: Jules : c'est l'ancien du groupe, en attestent sa moustache et ses cheveux gris. Il a fait la guerre de 14 et a rejoint la Résistance au motif que « j'ai pas passé 4 ans dans les tranchées pour que les Boches fassent la loi chez moi ». Il est un peu frileux ; en plein mois de juin, il porte toujours sa veste doublée en laine de mouton. Il est armé d'un antique Lebel-Berthier modèle 1915 dont on se demande comment il est arrivé là (rappelons, toutefois, qu'il a trèèèèès longtemps le client lambda pouvait acheter dans le catalogue de la Manufacture d'Armes de Saint-Etienne les mêmes fusils que ceux vendus à l'armée).
Il y a probablement 3500 erreurs dans les uniformes des 2 allemands. Mais ils vont rester comme ça, il ne sont dans le diorama que pour servir de faire valoir...Bon, maintenant, il faut faire les ombrages et les éclaircies sur les vêtements de tout ce petit monde
Merci de vos avis et commentaires
J-F
Les dernières avancées du projet : le barbouillage des figurines.
Ceux qui me connaissent savent que je n'aime guère la phase de peinture des figurines. Alors, pour passer le temps, j'ai inventé une histoire à chaque personnage. Je vous propose de faire connaissance avec les protagonistes de cette scénette.
1 : Juan : c'est un ancien de la guerre d'Espagne. Il a gardé de cette période l'habitude de porter sa couverture enroulée autour de son torse. Il a récupéré un casque Adrian, un Mauser 98K, une cartouchière et une gamelle de modèles inconnus (enfin, inconnus de moi…). C'est un teigneux, Juan ; dans quelques semaines, après la fin des combats en Bretagne, il va s'engager au Régiment de Marche du Tchad et, plus précisément à la 9ème compagnie surnommée « La Nueve » car composée en très grande majorité d'anciens Républicains Espagnols. Juan fera donc partie du tout premier élément de la 2ème DB à entrer dans Paris le 24 Août au soir.
2 : Adrien : c'est un fils de bonne famille, comme on disait à l'époque. Il porte toujours des vêtements élégants. Son blouson en cuir fauve fait des envieux parmi ses camarades. Comme il est toujours sur les bons coups, il s'est approprié un BM Bren récupéré lors d'un récent parachutage. Après la guerre, il se servira de sa qualité d'ancien résistant pour entrer en politique.
3 : Gunther : en 1944, il n'est visiblement plus un perdreau de l'année et alors qu'il a obtenu la Croix de Fer, il n'est toujours qu'Oberst (lieutenant). Il a fait tout son possible pour rester en France occupée et éviter d’aller sur le front russe où les occasions de monter en grade sont plus nombreuses (mais celles de se faire tuer également...). Personnage déplaisant, il préfère constituer des dossiers plutôt que d’être en 1ère ligne. Il continuera dans cette activité et fera carrière dans la Stasi.
4 : Didier : aspirant en 1940, il a réussi, au moment de sa démobilisation, à planquer son ceinturon avec son pistolet d'ordonnance ; il le porte aujourd'hui avec les culottes couleur mastic et les jambières en cuir de son ancien uniforme. Pour faire bonne mesure, il s'est attribué une promotion et arbore sur son béret deux galons de lieutenant. A l'automne, il va rejoindre les écoles d'intégration prévues pour les FFI et finir la guerre dans l'armée régulière comme capitaine. Après le conflit, il deviendra maire de son village puis député.
5 : Jean : après 1001 aventures, il a réussi à rejoindre Londres au début 1941 et s'est engagé dans les parachutistes. C'est maintenant un combattant aguerri ; il a participé aux opérations commando en Afrique du Nord, là où a commencé à se forger la légende des SAS. C'est le seul à avoir un équipement réglementaire... Après la guerre, il va rengager et partir en Indochine ; en 1954, avec son bataillon, il sera parachuté dans l'enfer de Diên Biên Phu d'où il ne reviendra pas.
6 : Walter : simple Gefreiter (caporal), son objectif principal c'est de rentrer chez lui. Malchanceux permanent, c'est lui qui a pris, dans le bras, une des balles de la rafale d'arme automatique qui a arrêté la Simca 5. Au lieu de rentrer chez lui, prisonnier de guerre, il sera envoyé dans les Iles Anglo-Normandes pour travailler dans une ferme. Après sa libération, il épousera la fille des fermiers et restera là jusqu'à la fin de ses jours (anecdote véridique).
7 : Emile : c'est un ouvrier ajusteur ; laissant femme et enfants, il a rejoint le maquis habillé de ses bleus de travail qu'il continue à porter au combat. Il a, comme Juan, récupéré un casque Adrian, une cartouchière allemande et un Mauser 98K. Au fond, c'est un paisible ; estimant son devoir fait, il va rentrer dans son foyer une fois la Bretagne libérée.
8: Jules : c'est l'ancien du groupe, en attestent sa moustache et ses cheveux gris. Il a fait la guerre de 14 et a rejoint la Résistance au motif que « j'ai pas passé 4 ans dans les tranchées pour que les Boches fassent la loi chez moi ». Il est un peu frileux ; en plein mois de juin, il porte toujours sa veste doublée en laine de mouton. Il est armé d'un antique Lebel-Berthier modèle 1915 dont on se demande comment il est arrivé là (rappelons, toutefois, qu'il a trèèèèès longtemps le client lambda pouvait acheter dans le catalogue de la Manufacture d'Armes de Saint-Etienne les mêmes fusils que ceux vendus à l'armée).
Il y a probablement 3500 erreurs dans les uniformes des 2 allemands. Mais ils vont rester comme ça, il ne sont dans le diorama que pour servir de faire valoir...Bon, maintenant, il faut faire les ombrages et les éclaircies sur les vêtements de tout ce petit monde
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J-F
ve-jeff- Employé Qualifié de l'usine
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Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
très joli travail de peinture , et belles histoires !!
Jmichel :pirat: :pirat: :pirat:
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toubib- Expert
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ve-jeff aime ce message
Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
Géniale cette idée de créer une histoire pour chaque personnage de ton diorama. Ta peinture et ta mise en scène sont très bien.
jpj1/35- Expert
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Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
Bonsoir,
Un vrai roman ce diorama ! Je me suis laissé emporter !
Un vrai roman ce diorama ! Je me suis laissé emporter !
MarcasB- Employé Qualifié de l'usine
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Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
Bonsoir les amis,
Bon, on va dire que ce diorama est terminé. Depuis la dernière publication, j'ai ajouté quelques branches dans la haie pour la densifier un peu, fait un brossage léger en blanc et plusieurs tons de gris sur les pierres du chemin pour les faire ressortir sur la couche de pigments "terre", empoussiéré les voitures et, bien sûr, terminé le barbouillage des figurines.
J'ai constaté une fois encore un phénomène curieux : certaines teintes, après les ombrages, deviennent mat dès la première couche de vernis (TS80 Tamiya) alors que d'autres restent satinées en dépit de trois couches de vernis...
A cause des cailloux du chemin, j'ai eu du mal à lier certaines figurines au sol ; elles semblaient en lévitation à 2mm du plancher des vaches. J'ai corrigé du mieux que j'ai pu ; mais c'est loin d'être parfait.
Voila le résultat :
Merci de vos avis et commentaires
J-F
Bon, on va dire que ce diorama est terminé. Depuis la dernière publication, j'ai ajouté quelques branches dans la haie pour la densifier un peu, fait un brossage léger en blanc et plusieurs tons de gris sur les pierres du chemin pour les faire ressortir sur la couche de pigments "terre", empoussiéré les voitures et, bien sûr, terminé le barbouillage des figurines.
J'ai constaté une fois encore un phénomène curieux : certaines teintes, après les ombrages, deviennent mat dès la première couche de vernis (TS80 Tamiya) alors que d'autres restent satinées en dépit de trois couches de vernis...
A cause des cailloux du chemin, j'ai eu du mal à lier certaines figurines au sol ; elles semblaient en lévitation à 2mm du plancher des vaches. J'ai corrigé du mieux que j'ai pu ; mais c'est loin d'être parfait.
Voila le résultat :
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J-F
ve-jeff- Employé Qualifié de l'usine
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Messages : 140
Date d'inscription : 31/07/2019
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Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
très chouette , bravo !!
Jmichel :pirat: :pirat: :pirat:
Jmichel :pirat: :pirat: :pirat:
toubib- Expert
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Localisation : F- TARN
Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
Bonjour,
En conclusion de ce diorama, je vous propose quelques photos d'époque trouvées sur internet voici quelques heures : parachutistes SAS et résistants mêlés (elles proviennent de divers sites internet, l'ensemble étant accessible en faisant, sur gogole, la recherche "70 ans du maquis de saint-Marcel")
Et une photo du capitaine Marienne, héros de l'épopée des SAS et des combats de Saint-Marcel, assassiné le 12 juillet 44 par les Allemands en compagnie du lieutenant Martin, de 5 autres SAS, de 8 résistants et de 3 agriculteurs au hameau Kerihuel (56 Plumelec).
J-F
En conclusion de ce diorama, je vous propose quelques photos d'époque trouvées sur internet voici quelques heures : parachutistes SAS et résistants mêlés (elles proviennent de divers sites internet, l'ensemble étant accessible en faisant, sur gogole, la recherche "70 ans du maquis de saint-Marcel")
Et une photo du capitaine Marienne, héros de l'épopée des SAS et des combats de Saint-Marcel, assassiné le 12 juillet 44 par les Allemands en compagnie du lieutenant Martin, de 5 autres SAS, de 8 résistants et de 3 agriculteurs au hameau Kerihuel (56 Plumelec).
J-F
ve-jeff- Employé Qualifié de l'usine
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Messages : 140
Date d'inscription : 31/07/2019
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Localisation : Saint-Lô (50)
Re: [TAMIYA et DES] Carjacking version été 1944 Réf 35231 et 35064
Bravo pour ton diorama, et son histoire qui nous transporte sur les lieux
JEF37- Expert
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